Éducation D'Une Bourgeoise Bcbg  : Première Punition Avant Épilation Totale… Suite 4

… Cela fait maintenant dix minutes que S… est suspendue, offerte, seins et lèvres de son sexe « ornés » de pince à linge. Son visage est expressif : un mélange de crispation, des yeux embués et une bouche ouverte d’où sort des gémissements. Je décide d'abrégé la punition de cinq minutes…
Je me lève m'approche de ce corps exhibé, tendu. Je ne résiste pas à l'envie de le caresser. Je me place derrière S… et lentement j'ôte une à une les pinces à linge, d'abord celles placées sur ses tétons puis celles qui pèsent encore sur les lèvres de son sexe. A chaque fois S… pousse un léger cri… de douleur. Sa respiration est soutenue d'autant plus que mes mains se sont mise à caresser les seins, les tétons et les lèvres de son sexe.

Immédiatement la douleur fait place à une excitation démonstrative à tel point que S… ne peut se retenir : elle jouit de tout son corps. Alors que le corps de S… est encore secoué de spasmes je détache ses chevilles lui permettant de poser ses pieds à nouveau sur le banc, puis c'est au tour des poignets d'être détachés. S… se laisse « tomber » dans mes bras, effondrée, mais selon ses propos, très heureuse et même comblée… je pense que S… vient de découvrir sa vraie personnalité. Je prends S… dans mes bras et je l'embrasse tendrement.

De longs baisers réconfortent S… qui oublie par la même occasion les douleurs aux bras et aux cuisses liées au fait d'avoir été attachée et « écartelée » pendant un bon moment... puis je porte S… dans mes bras jusqu'au salon de jardin puis je la dépose dans un fauteuil. Je luis sert une flûte de champagne et nous trinquons ensemble. C'est à ce moment que S… me fait part de son ressenti : elle me dit sa fierté d'avoir vaincu sa timidité, son plaisir de découvrir les sensations d'être attachée, offerte et son excitation d'avoir été punie mêlant les sensations de douleurs et d'excitations lui permettant d'arriver à une jouissance et même, selon ses propres mots : une extase formidable…
De mon côté je sens et remarque la progression de S… dans son cheminement vers les plaisirs de la soumission : elle est, installée dans le fauteuil, totalement nue, un collier et une laisse attachés autour de son cou, des bracelets en cuir placés aux poignets et aux chevilles et elle semble détendue rassurée, heureuse de partager ce moment avec moi.

Cela fait maintenant une bonne demi-heure que nous échangeons quelques baisers, que discutons tout en dégustant le champagne. Je décide de rappeler à S… les vrais raisons de notre rencontre de ce jour sachant que cette séance de punition n'était pas prévue et je lui demande si elle prête à se retrouver avec un sexe totalement rasé, épilé et que ça ne lui pose pas de problème par rapport à sa vie personnelle. S… se rapproche de moi, et me murmure qu'elle attend ce moment avec impatience, depuis plusieurs jours sachant, d'une part, qu'elle a pris le soin de prévenir son mari qu'elle souhaite se faire plaisir et que celui-ci n'y est pas opposé, et c'est le cas… et, d'autre part, qu'elle est extrêmement excitée de céder aux désirs de monsieur et d'obéir à ses ordres.

Sous forme de réponse, j'embrasse une nouvelle fois S… et je lui dis que le moment est venu. J'invite S… à se lever. Une fois debout devant moi, je prends dans mes mains la laisse qui pend toujours entre les seins de S... et je tire sur celle-ci. Ainsi, j'oblige S… à me suivre. Je l'amène derrière moi jusqu'à la voiture et je lui demande de récupérer la couverture rouge qui se trouve sur les sièges arrière. S… s'exécute sans dire un mot. Alors qu'elle la tient dans ses mains je la ramène vers la table et S… étend la couverture sur le plateau de la table. C'est tout en douceur que je prends S… par les épaules et je la dépose sur la table. Je lui demande de s'allonger sur le dos et de bien écarter les bras et les jambes. Une nouvelle fois S… obtempère… elle esquisse même un léger sourire… Ce dernier se crispe alors que je recommence la même opération que précédemment, c'est à dire, que ses poignets sont attachés aux extrémités de la table d'un côté et il en est de même avec ses chevilles. De plus je fais en sorte que ses cuisses dépassent de chaque côté de la table, ce qui a pour effet d'écarter celles-ci au maximum, et m'offrir une vue superbe sur son pubis et sur son sexe.

Voilà S… superbement attachée, à nouveau offerte, dans l'impossibilité d'échapper aux volontés de monsieur. Ce dernier constate que les tétons de S… dardent à nouveau, et ceci, sans les avoir titiller.
Je lui demande si elle est excitée, c'est un timide oui monsieur qui sort de sa bouche.
Je n'hésite pas une seconde pour glisser mes mains entre ses cuisses, d'en caresser l'intérieur avant de remonter vers les lèvres de ce sexe offert et visiblement plus qu'humide… deux doigts viennent frôler celles-ci avant de disparaître dans cet étui ouvert, béant… alors que je constate sans ambiguïté que S… est trempée et que mes doigts sont couverts de cyprine S… se tortille comme elle peut et de petits murmures de plaisir s'échappent de sa bouche. Je retire mes doigts de son sexe et les présente devant sa bouche.


S… une nouvelle fois vaincue ouvre ses lèvres ce qui me permet de faire pénétrer mes doigts trempés dans celle-ci. S… n'hésite pas à les lécher et à goutter ainsi son odeur intime.

C'est le moment que je choisis pour lui dire, sous forme de question, qu'elle est, tout compte fait, une belle bourgeoise BCBG, non seulement soumise, mais aussi, une belle salope avec une chatte de pute trempée…

S… me jette un regard étonné car je ne lui ai jamais adressé la parole ainsi… après quelques secondes elle me répond que le fait de lui parler de la sorte augmente encore son excitation et son plaisir de se sentir offerte et humiliée. Je réponds que je suis très heureux de la savoir encore plus excitée et heureuse tout en lui rappelant, que la traiter ainsi n'est pas, à mes yeux, un manque de respect, mais bien au contraire, le signe d'une réelle complicité partagée.

Il est temps pour moi de récupérer la bombe de mousse à raser, de sortir quelques lames de rasoir et de m'occuper de ce pubis encore légèrement velu… je sens que les cuisses de S… se tendent tout comme ses fesses qui se durcissent ce qui a pour effet de faire remonter ses hanches et d'exposer encore plus ce pubis et cette chatte. Il ne me faut que peu de temps pour étaler quelques points de mousse. Par contre je prends beaucoup plus de temps pour l'étaler et passer ainsi sur son pubis, entre ses cuisses et sur son sexe mes doigts qui n’hésitent pas à caresser plus longuement les lèvres de cette chatte exposée et offerte
. S… ne manque pas de se trémousser comme elle peut augmentant ainsi son excitation et son plaisir. Par contre, le corps tout entier de S… se fige au moment de passer la lame de rasoir. Écartelée comme elle est, elle ne peut admirer cet instant particulier ou tous ces poils pubiens disparaissent laissant place à un pubis et un sexe totalement rasé et entièrement épilé.
S… s'attend que je la libère mais je lui indique que ce ne sera pas le cas et qu'elle devra encore patienter un peu. Je lui dis qu'il va falloir fêter ce moment si particulier et que je souhaite profiter de ce moment, de son corps encore plus dénudé qu'avant.